mercredi, février 09, 2005

Pour Céline

Fermez les volets
Eteignez les lumières
Videz l’eau des fleurs
Que toute chose meurt

Laissez le courrier
Le téléphone sonner
Les journaux pliés
Le monde est ailleurs

Les arbres dénudés
Printemps, été, automne
Laissez passer le temps
En triste spectateur

Chaque instant sans elle
Elle, la mère, la maman
De ses trois enfants
Unique et chère au cœur

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Merci ma puce,
Ton poeme me va droit au coeur et l'apaise.
A travers son evocation, tu la fais vivre a nos cotes
merci.....
17/02/05

10:43 PM  

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